¤Présentation de Borsalino alias Ki Saru¤

Invité

Vous:

Prénom: David
Âge: 11 ans
Vos gouts: Bonne question je ne le sais pas moi même, je peux juste dire que j'aime Undertaker, One piece et le sang.
Comment avez-vus connu le forum: Salut Kidd

Présentation de votre personnage :

Nom complet : Borsalino
Surnom : Ki Saru
Âge : 47 ans
Sexe : Masculin ♂
Techniques:
-Lightning kick
-Lightning punch
-Lightning canon

Description physique:

Le physique, une partie importante n’est-ce pas?
Le premier coup d’œil, la première chose que l’on voit, eh bien notre bonhomme n’est pas ordinaire, très peu représentatif d’idée préconçues, l’abîme est visible sur bien des points.
Son physique résume bien son surnom, il a l’air d’un singe, perdu, et imbécile, cela correspond à sa façon de se tenir, rester debout tranquille, mais aussi souvent perché, sur des boulets de canons par exemple, et son approche, est toute aussi bizarre, il y va directement, sans passer par quatre chemin, ce qui renforce cette perception que les gens ont de lui.
De prime abord on le prendrait pour un parfait idiot, un individu niais, sans cervelle ainsi qu’une tonne d’autres défauts.
Ce n’est pas faux, mais pas totalement vrai non plus, il est bien plus intelligent qu’il n’en a l’air.
Mais il ne fait rien pour soigner son apparence, ce que les autres pensent importe peu, il vit sa vie en toute tranquillité et ignore les imbéciles qui lui font des réflexions déplacées.
Tout d’abord ses pieds, démesurément grands comme le reste de son corps, il est chaussé par de banales chaussures de villes blanches, la semelle n’est pas plate et le bout arrondi, il s’en sert le plus clair du temps pour terrasser ses ennemis, ces derniers sont meurtrier et parviennent souvent à vaincre à eux seuls.
Ses jambes, d’une taille semblable à celles d’Ao Kiji, alias Kuzan, il porte lui aussi un costume, uniforme, le tissu recouvrant ses puissants ses membres postérieurs est noire peint de rayure blanche, bien entendu fait sur mesure et élastique, pour lui permettre, à lui qui ne se sert presque que de ses guiboles une liberté de mouvement totale.
Son buste maintenant, lui est recouvert d’une chemise, sombre, confortable et solide, elle est faite de satin.
Par-dessus il porte une cravate, de couleur sang, tissée dans la même manière et dans le même matériau que les autres habits recouvert par le costume deux pièces, allant parfaitement avec les autres couleurs qu’il arbore.
Enfin le haut du costard, comme le pantalon et la chemise il est noir, mais là où il ne trouve de point commun qu’avec le bas c’est qu’il est rayé, de la seul couleur autre à celle du fond, recouvre son torse et son abdomen, elle s’étend jusqu’aux poignets.
Sur le droit il porte un Den den mushi portable dont il se sert bien entendu pour établir la connexion avec Sengoku le bouddha en pleine mission.
En bref un style vestimentaire sobre, dont il ne se préoccupe pas, il se doit d’être correctement habillé du fait de sa place mais ne fait pas attention à ses vêtements, qui sont pourtant, et en toutes situations parfaitement lisses.
Et comme tous hauts gradés il porte une longues veste blanche à épaulettes or laissant filer de fin filins vers le sol, cette dernière porte les inscriptions habituelles sur le dos et ne quitte presque jamais ses épaules, la couleur clair au moins donne du changement dans ces couleurs sombres, mais ce fait là également l’indiffère et il ne cherche pas du tout à se mettre en valeur.
Son corps lui est musclé, étant bien obligé de s’entrainer plus ardûment que les autres pour obtenir un grade tel que le sien, sa force est telle qu’il peut rivaliser avec Ao Kiji, et cela n’est pas dû qu’à l’hikari hikari no mie qui est son fruit du démon.
Ses quadriceps, ses biceps, ses triceps, ses pectoraux, sa sangle abdominale, ses trapèzes, ses deltoïde postérieur et intérieur, ses ischiots jambier, ses dorsaux, ses mollets tous sont extrêmement développé, en bref, il a fait de son mieux pour que ses tissus musculaires soient ceux d’une bête, et il en tire partie et les combine à son akuma no mie, donnant ainsi de terribles coups.
Il a de très grandes mains et de bons os robustes, en somme c’est un combattant paré à la victoire, résistant et causant beaucoup de dégâts il n’en reçoit généralement jamais mais ne néglige pas son entrainement, à tomber, à encaisser, ou juste à s’améliorer, il est sûr de lui mais pas arrogant, c’est pourquoi il continue sur cette voie malgré la puissance qu’il a dors et déjà, bien que désormais il modère ses efforts, ce qui est toujours mieux qu’Aka Inu aussi nommé Sakazuki ou même Ao Kiji, qui rêvasse le plus clair de son temps.
Au niveau du visage lorsque l’on commence par la partie inférieure on voit une bouche tout à fait banale entouré d’une légère pilosité en guise de barbe de trois jours, assez creusé de part les années, sur les côtés on peut déjà apercevoir des pattes de cheveux, qui révèles qu’il est frisé et bruns foncé.
Plus haut son nez lui est crochu à souhait, bien que modérément en comparaison à certaines personnes dont je ne citerais pas le nom, cela est dû au fait que les bout de celui-ci soit arrondi et également bien qu’il soit gros ait une taille petite au niveau de la longueur.
Et bien évidemment la continuité des pattes de cheveux qui descendent.
Toujours en remontant nous apercevons enfin ses yeux, filiformes et entouré d’un petit nombre de gerçures naturelles, enfin on voit le début d’une vraie coiffure, ce qui pouvait être remis en cause aux vues de sa tenue.
Le front, lui est paré d’un nombre de ride modéré, il est entouré, sur les côtés et au dessus par une pilosité faciale, je parle des cheveux, ils n’ont pas changé depuis le bas du visage, toujours bouclé, ils ne reflètent même pas les rayons du soleil à cause de leur noirceur, dressé en forme de coupe afro sur son crane ils lui donnent une certaine classe.
Mais, au passage, il y a une chose que l’on ne remarque pas et à laquelle peu de personnes font attention, oui, l’amiral porte des lunettes, des montures courantes et des verres assombri qui servent certainement de par feu de la même manière que des lunettes de soleil vis-à-vis de l’astre d’or qui projette de terribles rayons.
Et après le premier coup d’œil on s’aperçoit que ce personnage si représentatif de son surnom de prime abord dégage un charisme fou, pouvant faire ployer la volonté de certains pirates.
En résumé le singe jaune est un homme d’âge mur avec un certain nombre de ride, aux folles mensurations il est un géant comparé aux personnes considéré comme normale, un peu plus grand que son confrère flemmard, mesurant deux mètres soixante pour cent kilos.
Ayant l’apparence d’un parfait imbécile qui au fil du temps se dissipe pour laisser place à une aura extraordinaire, ce qui fait de lui le pseudo-parfait marine.

Invité

Description mentale :

Le mental, ce qui fait le personnage, ce qui le fait réagir, eh bien c’est simple, l’homme au nom de la fameuse marque de chapeau a simplement un mental de combattant des forces de l’ordre aguerri.
Nous allons approfondir, aller un peu plus dans le détail pour découvrir ce qui se cache dans sa boîte crânienne.
Justement, la tête de Borsalino est un véritable château fort, il est bien plus complexe qu’il n’y parait, regroupant certains défauts qui sont en réalité des opposés à d’autres qualités qu’il a aussi.
Il a l’air innocent, inoffensif, lorsqu’il s’approche d’un pirate sans stressé, en marchant, pour lui poser la question tant attendue « Vous ne sauriez pas où je peux trouver Sentoumaru, c’est mon subordonné ? ».
Clairement il donne une mauvaise impression de lui, et par ailleurs s’en contre fiche totalement, il a l’air d’un ahuri, d’un ignare, d’un parfait imbécile en somme, il l’est, mais seulement en partie, bien qu’il puisse sembler idiot il est très intelligent, la preuve est la façon dont il a développer au corps à corps les pouvoirs de son fruit du démon de la lumière, et bien que ses faits et gestes ressemblent à ceux d’une bête sans éducation il est instruit comme il le peut, il a été à l’école comme tout le monde, comme tout le monde il a appris des choses, et comme tout le monde maintenant il connaît ces choses.
Ce n’est pas rarement qu’il laisse tomber la carapace d’un homme chétif, d’une grande asperge, en plein combat ceux qui se moquaient de lui à cause de sa petite tête posé sur un si grand corps, tellement disproportionné qu’il ne pourrait rien faire, ou autre sorte d’injure du même genre, ceux là, il réalise la différence qui les sépare, l’amiral a de l’expérience et sait réfléchir, la plupart du temps il écrase les pirates qui l’ont provoqués, montrant ainsi une autre face de sa personnalité.
Lors d’une bataille il n’a plus le même visage, plus la même tenue, il veut simplement combattre, il adore se battre d’ailleurs, il n’aime pas que l’on l’ignore et est très impatient, attendant toujours que son adversaire s’attaque à lui, sinon il sera envoyé dans l’autre monde sans problème, il se différencie de Sakazuki, son comparse le chien rouge au moment même où il voit un pirate, si ce dernier est faible et que la mission ne le vise pas il se contentera de lui demander un renseignement comme toutes personnes normales, sur ce point il rejoint Kuzan, le faisan bleu.
Cependant si la personne qui se tient devant lui parait puissante il ne se gênera pas pour l’affronter, et n’admettra pas la fuite, plus il y a d’adversaire mieux on rit, cela pourrait être sa devise puisqu’il en cherche toujours plus qui ont un niveau satisfaisant, de ce côté-là il a bien trouvé son subordonné à la hache qui lui aussi cherche le combat.
La première fois qu’on l’aperçoit il peut paraître cruel, n’hésitant pas à aller tuer pour un noble, qui soit dit en passant est un trafiquant d’esclave, mais c’est juste qu’il comprend l’importance du geste qu’a porté le fieffé brigand qui a osé frapper un des fondateur du gouvernement, sans cet acte qualifié par les pirates de cruautés extrême on voit qu’il n’est pas si mauvais que ça, il a juste un sens de la justice assez poussé.
C’est pour ça qu’il est devenu marine, il ne supportait pas ces hommes ressemblants à des déchets de l’humanité, bien que son caractère ne joue pas toujours en sa faveur il ne regrette pas son choix, et si c’était à refaire il le referait, pour lui ce mot, cette fonction était obligatoire, comme Monkey D. Luffy, alias chapeau de paille, qui lui ressent ça avec la piraterie, en plus poussé tout de même.
Par ailleurs on peut trouver plusieurs similitude entre eux, tous deux sont de véritables singes en apparence, mais ils combattent efficacement, et s’ils le font c’est pour leurs idéaux, tous deux sont complexes, mais surtout, le mot peur a disparu du vocabulaire de Ki Saru comme il a disparu de celui de Luffy, la crainte, ou autre chose, pour cet amiral ça n’existe pas.
Encore une chose, notre singe des forces de l’ordre aime bien les entrées classes, par exemple, comme Monkey D. Garp alias la Garp la poigne casse un mur, lui débarque sur une île en étant dressé sur un boulet de canon.

Invité

Histoire :

C’était une nuit froide, il pleuvait, il y a quarante sept ans de cela, était dix-neuve heure quarante-deux précisément, un mardi, et c’était le quatre Janvier, il y a quarante sept ans.
Nous nous trouvons sur une petite île printanière proche de l’archipel Shabondy et par conséquent de Marijoa, elle fait parti du gouvernement, sous les ordres des hommes à pavillons de mouettes les indigène sont sous un régime difficile, près de la moitié des femmes attendant un enfant meurent, aujourd’hui une fermière allait accoucher, cela était déjà un miracle d’amener la grossesse à son terme.
Son mari, un épicier, s’était exercé, il savait comment faire naître sans aides ultérieurs, malheureusement il n’était pas médecin et ne pouvait pas pratiquer de césarienne ou autre opération, il allait tout faire pour que sa femme et sa progéniture survivent, il s’appelait Hiro, et devait se reconvertir dans un marché juteux, la vente de chapeau Borsalino.
Il courait sous cette pluie qui était rarissime, on aurait pu croire que le ciel pleurait une mort inéluctable, ce fut comme une prédiction pour ce futur père qui avait entendu dire par ses amis en rentrant du travail que l’accouchement avait commencé, il était essoufflé mais ne s’arrêta pas, il y avait deux raisons à cela.
Il devait aider sa femme à mettre au monde et faire de son mieux pour que tout le monde survive.
La deuxième, si sa femme mourrait il devait être avec elle, il connaissait l’insupportable douleur que l’on ressentait lorsque l’on laissait une personne chère à nos yeux mourir seule, et imaginait ce que l’on ressentait lorsque l’on quittait ses proches, sa terre, en solitude.
Son père fut un grand marine, il gravit les échelons un par un, puis il parvenu au grade de vice-amiral, il mourut un an avant ces événements, il avait quarante-sept ans, sa description, pour être exact, et bref par la même occasion, était celle de son petit fils, qui naitrait bientôt.
C’était un impatient, mais un fervent défenseur de la justice, il se fit transpercé les poumons par un des anciens commandants de flottes du terrible Barbe blanche, mais lui rendit son dû et le tua, il était considéré comme un bourreau et sa mort fut une victoire avant de s’éteindre, il légua ce sens aigu du bien à sa descendance, eut droit à des obsèques dignes de son rang.
Notre coureur arriva enfin à destination, il avait mit près de cinq minutes, et sa femme était déjà dans un état critique, peut être finalement mourraient ils tous.
A 19h48 le jeune homme s’était préparé, il avait les mains propres et tout en regardant l’orifice de sorti du bébé il rassurait sa femme, lui disait d’inspirer pis d’expirer, la caressait de temps à autre en passant sa main à travers ses cheveux, après six minutes de cris incessant une tête fut en vue, ni une ni deux l’homme récupéra son fils de manière académique.
Il ressemblait traits pour traits à son grand père, comme dit ci-dessus, ce qui monopolisa l’attention du mari qui ne remarqua même pas que sa femme mourrait, elle eut une dernière volonté, que son fils s’approche de son visage et qu’elle lui donne un nom, ce que devait faire une mère, respectant son envie il déposa le nouveau née sur sa couche, il avait pleuré un bon coup mais maintenant était tout à fait calme, lorsqu’il quitta les bras de son père il se remit à brailler, lorsqu’il entra dans ceux de sa mère il se tu à nouveau, la femme du nom de Shi i ro Borsalino mourut avec son fils dans les bras, sans avoir eut le temps de le nommer, elle se faisait appeler Borsalino depuis toute petite à cause de ses amis, c’était un surnom, ce qu’elle ne savait pas c’est que son fils lui, s’appellerait vraiment comme ça.
Le père tomba en arrière, heureux d’avoir vu naître son fils, mais démoli d’avoir perdu sa femme.
Il prit son enfant, qui ne comprenait rien, et l’emmena chez ses voisins avec cette pluie battante, il frappa, et demanda s’ils pouvaient le garder pour une nuit.
Ce couple de personnes âgées qui entretenait des relations amicales avec lui accepta mais quelques minutes plus tard, alors que le bébé était en train de sécher au coin du feu un bruit retentit, Hiro avait fait ce qui lui semblait bon, il pensait expier sa faute, pour lui si sa femme était morte il en était responsable, et il l’a rejoignit avec une balle entre les deux yeux.
Les voisins promirent sur leur honneur d’élever ce mioche.

Les quinze premières années se déroulèrent sans problème, le bébé était désormais devenu un adolescent épanoui, qui depuis tout petit rêvait de devenir marine.
Il se rendait au cimetière avec ses parents adoptifs, il allait à l’école, tout se passait pour le mieux, il avait de bonne note surtout en math, la formule qu’il retint le plus facilement fut E=mc2, expliquant que la vitesse est poids, il ne manquait de rien, mais ça allait changer.
Le couple de vieillard lui avait inculqué les principes les plus importants, mais la vingtième année de sa vie tout bascula, cela faisait maintenant deux ans qu’il travaillait pour faire rentrer de l’argent, depuis ses seize ans plus rien n’allait bien, les parents qui l’avaient recueillis se privé, mais il y avait une chose dont personne ne connaissait l’existence.
Le jour se levait, le quatre Janvier, ils allaient fêter les vingt ans de Borsalino, et un cadeau allait être magnifique, il avait réussi à obtenir une place dans la marine et le vieil homme s’était cotisé pour donner une sorte de dote, tous étaient sceptique, mais la vieille était dubitative, jusqu’à ce qu’il reçoit une lettre de confirmation le lendemain.
Il partit se recueillir une dernière fois sur la tombe de ses géniteurs avant de s’atteler à la réalisation de son rêve de gosse, devenir amiral.
Tout se passait bien, il travaillait assidûment à l’entrainement tout comme sur le terrain, et ses efforts furent récompensé, il monta en grade jusqu’à devenir un jeune sous amiral, il avait alors vingt-deux ans, il était reconnu comme un petit géni, mais il ne savait, malgré son âge, pas nager, de ce fait beaucoup de personnes ayant mon réussi attisait les moqueries sur lui, et son faciès pour le moins particulier ne l’aida pas, il avait apprit que toutes ses attaches à son îles natales, soit sa famille, ses amis, étaient mortes à cause d’une attaque d’un certain Gol D. Roger, qui arrivait même à rivaliser avec le vieil Edward Newgate, sa peau s’était creusé d’un coup, mais il jura de réussir là ou les autres avaient échoué, il devait arrêter ce pirate.
C’est pourquoi il redoubla d’effort, faisant tout son possible pour devenir meilleur, et en moins d’un an il fut encore promu, son assiduité lui avait permit d’attraper un grand pirate, et reconnu en tant que grand marine il arriva à être muté dans la flotte d’un autre vice-amiral, le vice-amiral Garp, sous son commandement l’entrainement de base à l’épée ou autres était bien plus difficile, il arriva à s’approcher très près de la personne qu’il voulait tuer grâce à cette personne, mais au bout de deux autres années, alors qu’il avait désormais vingt-cinq ans, celui qu’on appelait maintenant le seigneur des pirates désira se rendre, il ne laissa pas passer cette occasion, alors que cet home avait conquit l’océan il semblait faible, un débris sur patte.
Il allait le capturer mais pas avant de s’être vengé, il le frappa, sans lui laisser de répits, et lorsqu’il estima l’avoir assez amoché il appela ses hommes qui le conduisirent en cellule puis il fut exécuté.
Pour cet acte « héroïque » on lui donna un fruit du démon et le deuxième plus haut rang de la marine, amiral, il était devenu l’amiral Ki Saru alors qu’il n’avait fait que ramener un mourant qui s’était rendu, mais au fil des années il s’était assagi, et ça continua jusqu’à aujourd’hui, maintenant il était respecté de tous et avait la charge de la meilleure unité, sous ses ordres il avait en plus d’une garnison normale des pacifistas, il aida également le docteur Vegapunk à les améliorer.

Invité

Post rp :

Au quartier général de la marie sur la terre sainte Marijoa l’agitation régnait, plusieurs marines étaient affolés, un rapport arriva jusqu’à Sengoku, l’amiral en chef n’était pas content, loin de là, trois vice-amiraux auraient été vaincu par un puissant équipage de pirate, et le comble, Ao Kiji devait s’occuper de ça mais restait introuvable, il était près des lieux où le début de l’action allait se passer, en train de dormir profondément sur une zone de gazon contre un arbre avec son masque fétiche, et n’était pas près de réagir, ce fut donc une autre personne qui dû rejoindre Sengoku dans son bureau, où il retrouverait certainement le conseil des cinq étoiles.
Comme prévu après avoir longuement marché dans les couloirs d’un blanc immaculé et interminable de l’établissement il déboucha sur une grande pièce où les six hommes de lois les plus affluant du monde.
Le premier à prendre la parole fut le grand chef de la marine qui recevait directement les autres de ces vieillards.

Ki Saru san, vous devez savoir pourquoi vous êtes ici, trois flottes dirigés par des vice-amiraux ont été détruite, vous devez vous rendre sur les lieux et détruire cet équipage…

Excusez moi de vous couper la parole Sengoku san, mais pourquoi envoyer directement un amiral, un Shichibukai tel que Don Quichotte Doflamingo ou Mihawk Juraquile ferait largement l’affaire, et je pense que si c’est moi et non Aka Inu qui suis ici c’est parce que je dois emmener mes troupes, ne trouvez –vous pas ce moyen excessif, non pas que je ne veuille pas aller éradiquer cette menace mais cela me paraît disproportionné pour un seul et unique pirate.

Un membre des cinq étoile prit la parole, et ce n’était pas le moindre, l’homme qui régnait en maître sur le monde prenait la peine de discuter avec un sous-fifre, il était tout de blanc vêtu à l’inverse des quatre autres et tenait un sabre, son crane lui était particulièrement dégarni et sa voix suave.

Monsieur Borsalino, le fait que vous ayiez été appelé a bien une raison, en effet, tout nous porte à croire que cet équipage a un lien avec le Moby Dick, selon les survivants, le commandant de la quatrième flotte était avec eux, son nom est Statch.

Un autre pris la parole, il avait une cicatrice une longue barbe et était habillé en noir.

Sachez que vous et Sakazuki êtes pour l’exprimer ainsi en test, le poste d’amiral en chef ne sera pas toujours au Bouddha, nous envisageons de le mettre à la tête du gouvernement, là seul deux personnes peuvent postuler au plus haut grade de la marine, si vous nous ramener le corps de Statch vous gagnez un ticket pour cette place.

Un petit sourire se dessina sur les lèvres de l’amiral, il allait peut être avoir à faire avec le plus puissant pirate du monde, cela l’enthousiasmait, il allait pouvoir combattre une personne de son niveau si la bataille s’enlisait, bien entendu il prit le dossier en charge et s’en alla après un salut banal, contrairement à ceux qui essayaient d’impressionner en faisant des ronds de jambes lui préférait se faire remarquer pour son efficacité.
Le docteur Vegapunk avait certainement déjà reçu ses directives et les appliquerait à la lettre, l’effectif du bateau de Ki Saru était réduit, Sentoumaru ne pouvait normalement pas venir, mais peut être se glisserait-il par surprise sur le grand navire de guerre.
Quatre Pacifistas avaient embarqué, le scientifique donna quelque recommandation à un lieutenant qui s’empressa de venir trouver son supérieur, selon lui les Kumas embarqués n’étaient que des prototypes et il serait possible que l’un d’eux dérape, après ce rapport bref le sous-officier regagna son poste.
Le commandant de l’embarcation était songeur, ce qui d’habitude ne durait pas très longtemps, il était comme Shanks le Roux, un puissant homme avec des sursauts de gamineries, rester sérieux, un calvaire pour lui en tant normal.

*Si un de nous trois prend le rang de Sengoku san ça veut aussi dire qu’un poste d’amiral sera libre, pour l’instant le meilleur candidat est le vice-amiral Smoker, il est très puissant et intouchable, le problème est le surnom, s’il devient amiral il s’appellera Shiro Inu, et d’après le conseil des cinq étoiles Sakazuki n’obtiendra pas la promotion.
Dans ce cas là on aurait deux chiens, et deux doberman en plus, sans compter le vice-amiral je ne sais plus quoi qui es rejoint, en plus Smoker fait moins de deux mètres, peut être est-ce compromettant ou pas, mais aussi loin que remonte mes souvenirs je n’ai jamais vu d’amiral plus petit que l’amiral chèvre*

Il commença à ricaner à cause de sa réflexion néanmoins pertinente, c’était un fait qu’il avait remarqué mais rien de bien ennuyeux, il reprit vite son sérieux se souvenant qu’il avait quatre robot de destruction massive qui risquait un disfonctionnement.
Le bateau tanguait légèrement sous la houle, aucun vent et une température agréable, la seule odeur que l’on sentait était celle de l’iode, et le seul bruit que l’on entendait était celui des vagues, tout le monde était calme, les marines discutaient, d’autres regardaient par-dessus bord pour voir la déformation de la coque occasionnait par le reflet de la mer, certain eux aussi avait la tête au dessus de la mer et non du pont, mais eux vomissaient et au milieu du bateau un homme était assit.
Cet homme était Borsalino, il rêvassait, sa tête reposait sur sa main droite, il s’ennuyait à mourir, en tailleur il n’attendait que de se battre, il ne savait pas quoi faire d’autre que de se poser au sol de croiser les jambes et d’attendre, il soupirait de temps en temps, il était las, tant et si bien qu’il failli s’endormir.
Malheureusement il ne pouvait se permettre ce luxe car il y avait les cyborgs qui étaient à sa charge, le bateau avançait péniblement sur ce vaste océan, mais l’œil avisé de la vigie, et également l’odorat aiguisé du cuisinier repérèrent une île, le cuisinier pensait à manger, il sentait la délicieuse odeur de nourriture en train de chauffer, alors que le premier, celui qui avait vu l’île se préparait à attaquer.
Sans attendre, et presque dans un cri triomphant l’amiral sauta et balança son pied en avant.

Lightning canon.

On pu voir une énorme explosion sur lîle, dans sa joie apparente Ki Saru en avait oublié de dosé sa technique, mais au moins comme ça il faisait avancer la mission plus vite.

Amiral, vous y avez été un peu fort non ?

Oui, ce n’est pas trop grave mais il faudra que je me retienne la prochaine fois.

Il avait mit sa main à l’arrière de son crane et souriait les yeux fermé, derrière lui plusieurs hommes étaient désespérés en version grosse goute sur le crane, on aurait pu croire que Garp avait encore dit une bêtise mais cette fois c’était un fait et un amiral qui l’avait commit.
C’en était fini de l’attaque surprise, maintenant tout le monde savait qu’un ennemi s’approchait, le bateau voguait toujours sur l’eau, bien trop lentement au gout de l’amiral qui ne voulait qu’une chose, engager le combat, arriver n’était l’affaire que de quelques minutes, dix tout au plus mais il s’impatientait, il aurait bien aimé essayer de tirer des boulets de canon vers l’arrière pour avancer plus vite, mais c’était peine perdue.

*Je pense pouvoir porter les quatre.*

Il donna l’ordre aux prototypes de s’approcher de lui, et les souleva, ce n’était pas très confortable mais au moins il pouvait le faire.

« Préparez les canon, mettez y le plus de poudre possible, je veux que même sous un poids d’une tonne les boulets puissent arriver jusqu’à l’île »

Lui se servant de son pouvoir lumineux réduisit sa masse à néant, il ne pesait plus rien, ce qui était dommage c’est qu’il ne pouvait pas risquer une fuite de l’adversaire pendant que certains pirates couraient au casse-pipe pour laisser leur camarades vivre, et il devait donc amener les quatre robots avec lui, sinon ce serait avec plaisir qu’il aurait anéantit l’ennemi seul.
Au bout d’une petite minute les canons étaient prêts, il ordonna à ses hommes de tirer trois boulets en direction de l’île, l’odeur de la poudre était présente, en voyait qu’ils n’avaient pas lésiné sur les moyens.
Lorsque le tire fut accompli il sauta sur l’un deux et jeta deux Kumas sur les deux armes en suspension restantes, ils arrivèrent tous à destination, bien que ceux qui avaient voyagé en individuel étaient plus sales.
Ils se relevèrent, s’essuyèrent brièvement puis attendirent les ordres.

« Bon, c’est assez simple, moi je veux juste que e menu fretin disparaisse, pendant ce temps je surveille les autres et après je l’ai capture. »

Un plan simple somme toute, il l’avait dit à voix haute en prenant un air d’enfant, ses mimiques étaient courantes et les marines n’y faisaient plus attention, mais les pirates furent agacé et l’un d’eux tira une balle en visant la tête du singe jaune, par reflexe il se déplaça légèrement mais lorsqu’il vu que la balle était tout à fait banale il ne se donna pas la peine d’esquiver complétement.
Il se déplaça rapidement pour confirmer ses doutes au sujet de son second, en moins d’une seconde il se retrouva derrière le tireur qui ne lui arrivait que jusqu’à la taille et entreprit de lui poser une question.

« Vous n’auriez pas vu un homme du nom de Sentoumaru ?
C’est mon subordonné. »

Encore une fois le brigand tenta d’en finir avec son adversaire et lui cala le canon du fusil dans la bouche, sans plus attendre Ki Saru lui asséna un coup de point qui resterait dans les anales mais qui n’était en rien comparable à son vrai pouvoir.
Ensuite il constata les méfaits de sa précédente attaque, beaucoup de pirates étaient déjà hors course, cet équipage en comptait cent et au moins quarante étaient au sol, en inspectant les effets néfastes qu’il avait provoqué il retrouva le corps de Statch, mort, et lui qui ne savait pas que cette personne avait déjà été tué par Marshal D. Teach se demanda comment un homme aussi faible pouvait être un commandant de flotte du plus puissant des pirates, il pensa que ce dernier devait être dans un sal état avant, c’était la seul conclusion potable à laquelle il arriva, de toutes manières sa mission première était réussie, maintenant il lui fallait se débarrasser de ses ennemis encore en vie et il envisageait de ramener tous les corps, son supérieur devrait apprécier e geste puisqu’il pourrait montrer à tout le monde le corps du capitaine de la quatrième flotte du plus redouté bandit des océans.

Pendant ce temps les répliques du capitaine corsaire commencèrent à s’avancer pour mettre à exécution les directives de leur supérieur hiérarchique.

Bon, alors tout est en ordre, une présentation plutôt bien.Donc je vais te laisser le choix, soit tu as le niveau 19 ça te motivera pour monter de niveau soit tu as le niveau 19,5 au choix.Donc tu as le fruit de la lumière tu es validé.

Invité

Cher collègue je prendrais le niveau 19.

Invité

Welcome Ki Saru Razz

Okay.

» .:-:. Ki Saru?:-:.
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» Rob Lucci : Presentation
» Edward Newgate alias Barbe Blanche