Ki Saru vs Xyn Loly

-Ce combat se passe sur l'île natale de Luffy Fushia, le premier qui arrive à +7 gagne en revanche celui qui arrive à -7 perd.Bonne chance l'arbitre sera Nishiimuraa Call.

Invité

Des bruits de pas résonnaient dans un petit bar en bon état, un homme s’approchait du contoir, celui-ci était fait de bois et derrière une jeune femme tenter, autant que faire ce peu, de tenir ce bar et de servir le plus rapidement possible toute les personnes ici présentes.
Parmi les clients on trouvait des pirates, dont certains connus, et quelques-uns d’entre-eux avaient reconnu la personne que représentait la silhouette s’avançant au milieu des cris et de l’odeur de l’alcool, l’homme était stoïque et continuait sa marche semi-silencieuse.
Soudain plusieurs bandits partirent, prenant leurs jambes à leur cou après avoir formellement identifier la personne qui s’était, présentement, arrêté et qui était sis sur un tabouret plus ou moins confortable attendant que l’on s’occupe de sa requête.
Il était grand, plus de deux mètres, c’était sûr, il avait une carrure assez importante, la largeur d’épaule du bonhomme, étant de paire avec son immense taille, étant vraiment imposante, et il était bien vêtu.
Lorsque l’on l’identifiait, au lieu d’immédiatement regarder ce qui était généralement le premier pôle de contact avec autrui, la tête, on visualiser d’abord le corps, les pieds puis enfin la zone où se trouvait ce qui était le plus essentiel à toutes personnes, une bouche, des yeux, un nez, mais surtout, un cerveau.
En regardant le corps, de profile, on voyait que l’homme portait un costume assorti, mauve et noir ce jour là, une veste et un pantalon à rayure pour mieux visualiser la scène.
En dessous une chemise noire rehaussé d’une cravate jaune.
Et, surplombant le tout, une veste, blanche sur laquelle, au dos, étaient notés des inscriptions, elle était délicatement déposée sur ses articulations, celles qui servaient à joindre le tronc aux membres supérieurs de la personne mettant ainsi les épaulières en valeur.
Ses chaussures elles, aussi étaient celles d’un costume, fait sur mesure cela allait de soi, elles étaient d’une couleur marron, et d’elles, dépassaient, bien que très peu, le haut d’un tandem de chaussettes blanches.
Puis enfin, ce venait troubler le portrait du parfait haut gradé, le visage, son faciès, assez particulier, faisait penser qu’il était un anthropoïde, à l’instar d’un vice amiral dont le nom lui échappe, soit dit en passant, souvent, trop même, il avait une tête ressemblant à celle de l’ancêtre de l’être humain.
Puis lorsqu’il leva le bras gauche afin d’être remarqué par la jeune femme on pu voir un escargophone, portable et de couleur noir, ce dernier ne servait qu’à recevoir des appels mais son propriétaires tenter souvent de contacter, sans résultat satisfaisant à la clé, ses subordonnés avec.
Finalement, on pouvait identifier le premier nommé sans trop de mal lorsque l’on avait un peu d’expérience, il s’agissait bien sûr de l’amiral Ki Saru.
Il venait d’être dépêcher sur East Blue par Sengoku, qui lui donna cette ordre à Marijoa, et la première escale qu’il fit fut à Fushia Town, il avait besoin de faire le plein de provision après avoir traverser le Calm Bett, et durant ce temps il comptait bien ne pas rester sans rien faire, il voulait chasser du pirate, et comme si la providence était de son côté il y en avait sur cette île.
Il voulait savoir où trouver le foyer de pirate en abritant le plus, qui plus est les plus puissants, cela était assez débile en soi étant donné que ce genre d’information ne pouvait être donné que par des personnes bien renseignées, et ce sur une carte pour situer approximativement une forte concentration d’ennemi, mais après tout, il n’avait pas d’autres idées, alors il attendit que la jeune fille vienne le voir.
Il jeta un coup d’œil aux alentours, il n’avait pas encore fait attention à l’architecture des lieux, il afficha ce qui pouvait sembler être une impression de stupeur sur son visage, tordant ainsi dans tous les sens ses caractéristiques faciales déjà bizarres lui donnant un air d’ahuri.
Le bar était loin d’être délabré, les murs et le plancher était entièrement construis dans le bois, tout était d’ailleurs fait de ce matériaux, et en face de lui se trouvait l’étalage des différents récipients et liqueurs pouvant être utilisé.
Et en plus d’être dans un bon état, le bar était propre, et ce dernier n’était pourtant gérer que par une seule personne, une jeune femme.
Subjectivement il trouvait ça remarquable, le travail qu’elle effectuait en ces lieux.
Enfin, la gérante du commerce vînt voir Borsalino, le dernier nommé n’attendit pas plus longtemps, et demanda, de façon la plus concise et polie possible pour lui où il pouvait trouver de puissants pirates.

"Bonjour, ne sauriez-vous pas où je pourrais trouver de puissants pirates ?"

L’interlocutrice paraissait plutôt embarrassez par la question qui lui avait été posé, l’amiral compris donc qu’il n’aurait pas sa réponse, dans le même temps il se rendit compte que ce serait incongrus de rentrer dans un bar sans commander la moindre boisson, et celui qui jusqu’à présent était seul locuteur prit à nouveau la parole.

"Bon, tant pis.
Je pourrais avoir du thé au jasmin sinon ?"

Enfin la femme en face de l’amiral daigna rejoindre la conversation et répondit par un « oui » d’une voix étouffé, apparemment le fait d’avoir un marine de haut rang chez elle l’embarrassait quelque peu, elle ne devait pas les aimer ces représentant de la loi, elle devait être marqué par un de ceux qui abusait de leur autorité.
La boisson arriva et le commanditaire de celle-ci la dégusta, il fallait avouer qu’elle était très bonne.
Alors qu’il songeait à payer sa note et à repartir en quête d’ennemi puissant il sentit quelque chose le traverser, c’était une lance, celle-ci se ficha dans le bois après avoir porté un coup semblant être fatal, d’ailleurs, sur toute personne normale il l’aurait été, pour jouer un peu plus le jeu, la victime de cette attaque en traître se laissa tomber lorsque le lâche qui avait porté ce coup retira son impressionnante arme.
Le visage du présumé mort était tourné vers son agresseur, et toujours en simulant le fait d’avoir été mortellement blessé il toisait la personne en face de lui du regard.
Il n’était pas très intelligent, pour preuve, il ne remarqua même pas l’absence de sang sur la lame qui avait empalé Ki Saru, il était trop occupé à chanter ses louanges, savourant d’être le meurtrier d’un des hommes les plus puissants du monde, sa joie ne serait que de courte durée mais il ne le savait pas encore.
Il portait des chaussures noires dont le bout remontait en forme de croissant de lune, ses habits eux, tout comme sa peau, étaient totalement immaculés de blanc.
Il portait un pantalon presque moulant qui se mettait à faire des plis au niveau des tibias, son tee-shirt, quant à lui était le même genre de vêtement en gaze que le bas, il était à manche longue et laissait un vide au milieu de la cage thoracique, ainsi on pouvait entrevoir une musculature développée, et dans sa main droite l’arme qui avait percer l’abdomen du comédien.
Par-dessus se trouvait une canadienne de bonne qualité de couleur pourpre.
En plus de ça, ce qui choquait se trouvait sur le visage, des lignes droites, de maquillage, ressemblant à une coulée d’hémoglobine de part leur couleur pourpre, descendant des glandes lacrymales de l’homme, on voyait ainsi clairement la pupille verte du gredin, ces même lignes, elles, descendaient jusqu’au menton perpendiculairement au visage et symétriquement au nez, parallèles à celui-ci elle donnait l’impression qu’un découpage triparties avait soigneusement était effectué.
Cette homme était brun et avait des cheveux mi-long descendant jusqu’au dos, le sourire qu’il affichait en jubilant était celui d’un véritable carnacier, son œil gauche lui, était caché par un bandeau élastique de la même couleur que le reste des frusques couvrant son corps.
Il devait faire deux mètres-cinquante et tailler un bon quarante-six
Une joie exubérante l’avait envahi, pour lui il ne faisait aucun doute qu’il avait réalisé une sorte d’utopie, tuer un des quatre hommes les plus important de a marine.
Il était accompagné vraisemblablement de quatre de ses hommes.
Quant au civils, certains commençaient à paniquer et à déguerpir en s’agitant dans tous les sens, d’autres, mettant leurs mains devant le visage, des femmes pour la plupart, poussés des hurlements d’une intonation très aigue, dans l’euphorie personne n’avait remarquer que le corps jonchant le sol n’avait pas la moindre égratignure, d’ailleurs, celui-ci, dans un geste rapide se releva et décocha une impressionnante boule de lumière par le pied, tout le groupe fut prit dans l’explosion, qui était tout de même de moindre ampleur par rapport à d’habitude, il ne voulait pas saccager le bar, et il vit que, plus prompt, le capitaine avait pu échapper à la terrible attaque, cependant il ressentant tout de même sa morsure au niveau du bras droit qui désormais apparaissait directement au rayon de la lumière le tissu ayant mystérieusement disparu.
Il affichait un air sérieux, son allégresse étant subitement retomber en même temps que sa chimère n’était plus, il se retrouvait maintenant en face d’un adversaire bien plus puissant que lui qui avait normalement pour but de l’arrêter, même de l’exécuter.
Gauchement il se précipita sur l’amiral qui s’était simplement remis debout contemplant la réussite de son offensive qui n’avait aucunement endommagé le commerce dans lequel il se trouvait, et il se mit à esquiver aisément les différentes attaques du pirate, ce dernier répondait au nom de Gojo, alors qu’il attaquait, avec des mouvements maladroits et futiles il criait toute la haine qu’il avait à l’encontre du défenseur.
Ses paroles aussi superfétatoires qu’incompréhensible n’atteignirent même pas les oreilles de celui à qui elles étaient adressées, et il aurait été superflu, pour ce dernier de tenter de les comprendre, et vain de demander à la personne qui ne cessait de l’apostropher de bisser les insultes qu’il proférait en pensant à articuler.
Par contre, l’amiral, lui cogiter pour mettre une prime sur celui qui l’attaquait, il l’avait totalement dissocié l’affiche, et le pirate.

*Ah, ça y est, c’est le pirate aux trente-douze millions, Gojo le bandit lacérant*

Ce surnom était dû au fait que le dernier nommé labourer littéralement le corps de ses victimes.

*Zut, il ne vaut pas trente-douze millions mais trente-deux, de toute façon ce n’est pas intérressant.*

S’arrêtant de jouer au chat et à la souris Borsalino s’immobilisa puis, alors qu’il n’utilisait pas jusqu’à présent dans cette escarmouche, tira un rayon qualifié de laser de par le bout de son doigt.
Son ennemi avait désormais une cavité circulaire sur la partie visible de son muscle pectoral gauche et cette courte bataille était enfin terminée.
« Teint pâle » s’effondra, son corps jonchait à présent le plancher et commençait à couvrir ce dernier de sang.
Quelques dégâts avaient été fait au bar, c’est pourquoi Ki Saru laissa le soin à la jeune et serviable fille d’empocher la récompense promise à celui ou celle qui ramènerait ce vicieux personnage aux autorités, mort, ou vif.
Passant le seuil de la porte le chasseur se mit en quête d’un autre ennemi à terrasser, plus puissant il l’espérait.
Il arpentait tranquillement les rues, cherchant le chemin vers un lieu où il pourrait trouver des avis de recherches, les habitations étaient vraiment bien charpentée, les regarder ravissait sûrement le regard des badauds.
Alors qu’il se déplacer depuis un petit moment déjà il arriva à une base de la marine, dans celle-ci, ne faisant pas attention aux formalités il passa rapidement, lorgna la pièce où tous les bureaucrates remplissaient de la paperasse et trouva enfin ce pourquoi il avait tourner en rond plusieurs minutes, une poignée d’avis de recherches, alors que plusieurs soldats se mettaient au garde à vous il prit tous les wanted et ne faisant même pas attention à eux sortit, obnubilé par ce qu’il venait de récupérer il ne faisait que les feuilleter alors qu’il se retrouva à nouveau à se balader en ville.
Il lui fallait maintenant un endroit calme, bien dégagé où il pourrait croiser du monde.
Après quelques minutes il arriva en centre ville et s’assit après avoir ramasser des avis de recherches à la caserne du coin pour pouvoir identifier une quelconque cible potentielle.
L’endroit était illuminé par les rayons de l’astre d’or qui éclairaient fortement la place du marché de bon matin, il ne devait être que dix heure et pourtant les marchand commençait déjà à s’installer, dans des bruits de cliquetis, pour cause la plupart des stands était construits en métal et en plastique.
Etalant fièrement leur marchandise les commerçants peaufinaient quelques détails, l’air était maintenant empli d’une odeur d’épice et de nourriture préparée.
Il y avait beaucoup de bâtisse autour de lui mais un nombre de citoyen relativement peu élevé, ce qui lui permettrait de tester un nouveau type de combat, qu’il n’avait pour l’instant vu que dans un livre de fiction, mais aussi d’avoir recours à tous ses moyens.

[hrp: la fin est pas super posé, je m'en excuse j'ai dû abréger]

Invité

Il y a peu, Loly avait rendu visite à son père, le vendeur de légumes. Cela faisait un petit moment qu’elle ne l’avait pas vu, aussi avait-elle décidé de lui donner un peu d’argent pour l’aider à passer l’année. Certes elle ne lui donnerait pas grand-chose, trop avare pour ça ! Mais quelques berrys en moins ne lui feraient pas de mal. Elle se répétait cela à longueur de journée au fur et à mesure que sa petite embarcation de pêche approchait de l’île en question. A vrai dire elle n’était pas sur de pouvoir donner la modeste somme de 500 berrys à son père. Cette situation était la plus dramatique de l’année. Parce que oui elle rendait visite à son père une fois par an pour lui donner de l’argent et c’était la chose la plus dure à faire. Donner des sous qu’elle avait durement acquis pour qu’un homme les dépense ensuite.

Notre petite voleuse se tenait la tête de ses deux mains et observait d’un œil curieux l’île qui commençait à se dessiner sous ses yeux. Elle se retourna ensuite vers le pêcheur qui la conduisait vers l’île. Une odeur nauséabonde émanait de lui, aucun doute c’était le poisson ! Ce qui était fort étrange parce que depuis qu’elle faisait le voyage avec l’homme, elle ne l’avait jamais vu attraper un seul poisson. Comment était-ce possible qu’il sente autant alors hein ? Bizarre bizarre mais elle ne faisait aucun commentaire. Après tout il acceptait de la conduire gratuitement. Voilà qui était généreux et c’était surtout l’une des raisons faisant qu’elle l’aimait beaucoup, mais là quelque chose clochait.

« Ce n’est pas la bonne île ! Je te rappelle qu’on va à Orange Town ! »

L’homme approuva d’un signe de tête avant d’annoncer qu’il devait faire une petite escale à Fushia. Bon, elle n’y voyait pas d’inconvénient et puis ce n’est pas comme si elle avait le choix. Au moins cela retardait le moment fatidique qu’elle attendait tant. Elle bailla et se coucha au milieu des filets puants de poissons. Elle sentait déjà le poisson cru alors qu’elle le sente un peu plus ou un peu moins, la différence n’était pas énorme. Fouillant dans ses poches elle sortit la petite bourse de berrys. Elle la tenait entre ses mains et la frottait délicatement contre sa joue. Elle détestait se séparer de son argent. Elle embrassa la bourse avant de lui lancer des petits mots réconfortants d’un sourire nostalgique.

« Ne vous inquiétez pas mes chéris…maman ne vous abandonne pas vous allez être très heureux avec grand-père…promis ! »

Elle était vraiment atteinte. La maladie de l’argent lui rongeait un peu plus chaque jour ses entrailles. Etre autant avare, égoïste et intéressée par l’argent était quasiment impossible. Il y avait-il une personne comme elle ou pire qu’elle dans ce monde ? Non surement pas. Loly était le cas extrême.

Un peu plus tard, le pêcheur accosta sur l’île et sauta du bateau demandant à Loly d’en prendre soin. La jeune femme se contenta d’un hochement de tête affirmatif. Elle se réinstalla sur les filets de poissons. D’un œil elle observa l’homme s’éloignait. L’attente serait longue et ennuyante, elle en était sur. La perspective de rester assise à ne rien faire ne lui plaisait pas tellement. Elle se leva, rentra dans la mini cabine du bateau et se changea avec les vêtements qu’elle trouva. Elle revêtit un t-shirt violet ainsi qu’une salopette bleue. Elle échangea ses bottes avec des sandales. Elle posa ensuite sur sa tête un énorme sombrero. Une vrai petite paysanne !

Elle prit un sac à dos trainant par là et y fourra une pomme, une corde ainsi que deux trois petites choses qui ne lui seraient sans doute d’aucune utilité. Elle posa pied sur la terre ferme et siffla. C’est juste après ce petit son qu’un splendide renard roux sortit du bateau pour venir se poser autour de son cou. Elle lui caressa affectueusement la fourrure avant d’annoncer gaiment qu’ils allaient faire un tour avant que le pêcheur ne revienne.

Vous l’avez compris, Loly n’avait pas du tout envie d’obéir et avait décidé de sécher. Pas question qu’elle passe sa journée à l’intérieur de ce bateau puant le poisson. C’est donc en sautillant et tournant sur elle-même qu’elle se dirigea vers la ville. Elle chantait en même temps une chanson un peu idiote sur l’argent et son renard l’accompagnait avec ses petits hics.

« L’aaaargennnnnnt est yéyé bonnnnnnnn pouuuuuur leeeeeee moraaaaaaaal ! 10 000 berrys…20 000 berrys…La richesse nous prend par la mainnnnnnnnn ! »

« hiiiiiic ! hiiiiiiic ! »

Elle arriva enfin en ville. Bien sur on ne put s’empêcher de lui jeter de drôles de regards. Surement à cause de son accoutrement, du renard autour de son cou ou alors à cause de sa drôle de chanson et de sa manière idiote de sautiller et de danser. Elle ne fit pas attention aux préjugés et passa au milieu de la foule tout en faisant les poches à certains au passage. Elle s’empressait alors de ranger l’argent dans sa salopette. Ni vu ni connu, je m’enrichie sur le dos des autres tout en m’amusant…

Elle s’arrêta devant un bar et se rendit compte qu’elle avait soif et qu’elle avait très envie de boire quelque chose. Elle y entra donc et se laissa tomber devant le comptoir avant de demander à une jeune femme un verre de limonade. Boisson qu’elle avala d’un trait. Elle déposa ensuite une petite pièce de berrys dans les mains de la jeune femme. Elle renifla juste après. Il ne lui restait plus que 550 pièces. N’était-ce pas horrible ? C’est fou comme l’argent part vite. Heureusement voler les habitants lui avaient augmentaient un peu sa cagnotte.

Loly tendit ensuite l’oreille pour mieux écouter les autres. Mais rien de bien intéressant, il n’était pas question de berrys malheureusement. Les pirates se trouvant ici étaient des pauvres. Voilà qui faisait mal à ses affaires. Elle se leva et disparut au toilette pour vomir un bon coup. Le fait de savoir que personne n’avait le moindre trésor la rendait malade et à un point…Elle dut y rester plusieurs minutes avant d’être sur qu’elle n’avait plus rien à rejeter et si elle était prête à accepter la dure réalité de la vie : elle n’allait rien voler aujourd’hui. Alors qu’elle s’apprêtait à sortir, elle entendit deux trois pirates criaient en reconnaissant un quoi ? Elle n’avait pas entendue, qui pouvait bien faire un tel remue ménage ? A vrai dire elle ne voulait pas le savoir, c’est la raison pour laquelle elle préféra rester enfermer dans les toilettes. Elle colla son oreille à la porte histoire d’écouter les conversations et savoir enfin qui était là. Mais les voix étaient trop confuses et elle n’apprit rien de nouveau. C’est alors que quelque chose d’étrange se produisit. Un petit boom retentit. Allons donc qu’est-ce qui se passait ? Poussée par la curiosité elle sortit de sa cachette et haussa un sourcil en voyant un cadavre d’un pirate à terre. Tandis que les personnes présentes hurlaient devant ce corps, Loly elle était très calme, elle se dirigea vers le mort, elle se pencha au dessus de lui et prit son pou.

« Il est mort ! C’est une bonne chose ! »

On la regarda étrangement après ces quelques paroles. Bien sur qu’il était mort ! Elle ne s’en rendait compte que maintenant ? Et pourquoi une bonne chose ? Elle ne connaissait même pas cet homme et ne lui avait jamais parlé ? Ho ne me dîtes pas que vous n’avez pas compris pourquoi c’était une bonne chose qu’il soit mort ? Réfléchissez une seconde, si une personne est décédée, il est tout de suite plus facile de lui faire les poches surtout s’il s’agissait d’un pirate. Elle lui prit tous ses berrys sous le regard exaspéré de son entourage.

« Quoi ? Il est mort il en a plus besoin ! »

Tirant la langue aux autres, elle quitta ensuite les lieux tout en recomptant sa cagnotte qui avait encore une fois prit de l’ampleur. 600 berrys. Voilà qui était bien ! Ca poussait ça poussait comme les plantes !

Se dirigeant vers le centre-ville, un individu hors du commun attira son attention. Un homme plutôt grand habillé d’un costume magnifique. En voilà un qui était classe et qui avait du goût. Hum…combien avait-il payé ce vêtement ? Une fortune sans doute non ? Incroyable ce gars ne savait pas quoi faire de son argent ! Elle marcha vers lui et lui tapota l’épaule pour lui faire remarquer qu’il ne devait pas gaspiller ainsi. C’est à ce moment là qu’elle aperçut ses gallions. Ses joues s’empourprèrent de rouge. Oui elle rougissait, pas à cause de cet homme non ! Trop moche pour ça…(xD) mais à cause de son grade ! Vous savez l’argent que ça doit avoir un Amiral sur lui ? Elle sourit, leva ses mains vers le ciel et hurla.

« JACKPOT ! »

Plume, son charmant renard fit le même geste que sa maitresse avant de se mettre à hurler « hiiiiiiiiiiiiiiiic ! » Il sauta à terre se mit sur ses deux pattes avant de prendre une posture offensive. IL donna un coup de pied dans le vide tout en poussant ses petits cris de renards. Il donna ensuite des coups comme ça au hasard. Lui aussi voulait le pognon ! Loly se pencha vers l’Amiral avant d’ajouter d’une voix délicieusement suave.

« Cela vous dérangerait-il de me donner votre argent ? Vous faire les poches ne serait pas correct pour quelqu’un de votre statut ! Vous devez en avoir beaucoup non ? Ne me forcez pas à vous le prendre de force ! »

Invité

Je vais finalement arbitré ce combat, pour le moment vous avez tout les deux fait de bon rp (loly fait attention a ne pas trop reprendre d'autre rp)
Vous avez tout les deux +1

» Xyn Loly
» .:-:. Ki Saru?:-:.
» Hoshikitai: Ryoushi Shiro/Jeff Watersson/ Xyn Loly