Sengoku le Bouddha [VALIDÉ]

Vous:
Prénom: Seb
Age: 22 ans
Vos goûts: euh... plein de choses?
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Présentation de votre personnage:

Nom complet: Il se fait appeler Sengoku le Bouddha, mais rien ne dit que c'est son véritable nom, plutôt qu'un surnom. Cette seconde option est probablement la plus apte à être vérifiée.

Age: Son âge est inconnu, mais au vu de son apparence, il doit avoir atteint une certaine maturité.

Sexe: C'est un homme.

Fruit du démon: Pour le moment, rien ne dit que Sengoku possède un fruit du démon ou non. Peut-être aurons nous cette réponse plus tard, lorsque le moment où il devra intervenir aura sonné.

Equipage: Sengoku n'appartient à aucun équipage, faisant partie des membres de la Marine qui ne quittent que rarement, voire pas du tout Marijoa, la Terre Sainte qui tient lieu de Quartier Général de la Marine.

Métier: Comme dit au-dessus, Sengoku fait partie de la Marine. Pour être plus précis, il est l'Amiral-en-Chef de la Marine, force suprême des forces de l'ordre.

Description physique:

Mesurant une bonne taille et possédant une stature, qui, au premier abord, semble assez élancée, la carrure de Sengoku est difficile à juger du fait qu'il porte constamment de larges vêtements par-dessus son torse. En vérité, beaucoup de divers aspects physiques de cet homme restent un mystère. Que cache-t-il sous sa casquette? On voit clairement deux touffes de cheveux qui s'élèvent sur les côtés de son crâne, mais rien ne dit qu'il en est de même pour le sommet de sa tête. cependant, tant que cela restera au stade des spéculations, mieux vaut songer que l'Amiral-en-Chef, bien qu'ayant atteint un certain âge, ne porte pas sa casquette pour dissimuler une calvitie partielle, mais plutôt qu'il possède tout simplement une touffe de cheveux éparpillés sur son crâne. Par ailleurs, si l'on reste dans le domaine de la pilosité, ce haut gradé de la Marine, responsable de la totalité des armées, arbore non seulement une moustache qui s'étend d'une commissure des lèvres à l'autre en passant sous son nez fin, mais en plus de cela une longue barbiche entièrement tressée et attachée par un élastique par de son menton jusqu'au bas de son torse.

Son teint légèrement halé contraste avec sa tenue vestimentaire qui est principalement composée de blanc, alliant son uniforme composé d'un pantalon et d'une sorte de "chemise", si je puis dire, ne trouvant pas le mot adéquat, possédant quelques boutons qui permettent de la maintenir fermée, ainsi qu'une bande de tissu rouge qui travers cette tunique de part en part obliquement. De plus, sur le devant de ce vêtement sont exposées trois médailles, signe distinctif de son haut rang au sein de la Marine. De plus, l'Amiral-en-Chef garde souvent par-dessus son uniforme un grand manteau – également blanc – dont les épaulettes sont teintées de jaune vif, à l'instar de ses médailles et des boutons de son haut de tunique. Une paire de lunettes noires couvre ses yeux légèrement plissés. Ses pieds sont couverts par une paire de chaussures noires, tandis qu'il porte au poignet droit un gros objet à cadra, probablement une montre ancienne, voire un Log Pose ou autre outil de la sorte. Mon avis est qu'il s'agit tout simplement d'une montre, mais qui sait?

Quoi qu'il en soit, il y a deux autres points à noter chez cet homme. tout d'abord, comme il était fait mention d'une casquette au début de cette présentation, un détail à ce sujet ne doit pas être oublié. En effet, au sommet de ce couvre-chef trône une mouette, probable symbole de la Marine, qui apporte d'autant plus la preuve de l'implication de Sengoku au sein des forces de l'ordre. En outre, le second détail important n'est pas réellement un point physique ayant trait à cet individu, mais plutôt à sa compagne. Celle qui correspond à cette appellation n'est autre qu'une chèvre blanche portant une cloche autour du cou, ainsi qu'une paire de corne, comme tout représentant de son espèce. Cet animal accompagne son maître lors de la plupart de ses déplacements, y compris aux réunions d'état-major, sans que quiconque ne semble le moins du monde surpris, preuve de son intégration au groupe militaire faisant régner l'ordre par-delà l'océan. Cette chèvre semble être particulièrement friande du papier en tout genre, aussi bien sous forme de journal que de rapport important. Autant dire que la surveiller reste tout de même de premier ordre.

Description du caractère:

Comment pourrait-on décrire le caractère de Sengoku sans parler de ses responsabilités au sein de la Marine? Tout est lié, sans aucun doute. Car il est bon à savoir que l'Amiral-en-Chef fait passer son devoir avant tout. or, à ses yeux, ce qui est le plus important est de faire régner la justice. Non, en fait, c'est même plus que ça, car telle est la devise de la Marine que prône cet homme : Justice absolue ! Nul ne doit y échapper. De ce fait, dès le moment où quelqu'un cause des problèmes à travers le monde, les mesures que prendra Sengoku à l'égard de cette personnes seront intraitables. Ce haut représentant des forces de l'ordre est très attaché au règlement, et ne discute jamais les ordres qu'il peut recevoir des Cinq Étoiles – Gorosei -, seule faction au-dessus de lui vis-à-vis de la loi.

Sengoku n'apprécie pas les pirates. D'ailleurs, même au sein des Shishibukai, aussi connus sous le nom de Capitaines Corsaires, il y a certains éléments que le militaire ne supporte pas vraiment, tel que Doflamingo et ses trafics. Il le dit lui-même : rien n'est plus déplaisant à entendre que le fait que les affaires des pirates fonctionnent bien. Par ailleurs, la plupart du temps, Sengoku se montre très calme, bien qu'il conserve son air sérieux, mais semble vraiment fatigué lorsqu'il s'agit de se réunir autour d'une table avec des pirates. Allez savoir pourquoi. En revanche, il lui arrive bien entendu d'être au comble de l'exaspération, comme toute personne. Dans ces moments là, il semble exprimer une certaine lassitude, allant jusqu'à se prendre la tête dans une main tout en montrant un visage qui se veut colérique, voire épuisé face à toute la bêtise dont fait preuve la piraterie...

Histoire:(15 lignes minimum)

Pour commencer, il est bon à savoir qu'aucune information ayant trait à l'enfance de Sengoku ne nous est parvenue, et je doute qu'il y ait quoi que ce soit de tel qui arrive un jour. De ce fait, je pense qu'il est tout aussi bien, voire mieux, de débuter ce récit à partir du moment où Sengoku obtint le poste d'Amiral de la Marine. D'ailleurs, à cette époque eurent lieu certains évènements qu'il est intéressant de mettre en avant.

Tout d'abord, à une certaine époque, alors que Sengoku arborait une splendide coupe afro, il convoqua le Vice-Amiral Sauro, un géant ayant gravi les échelons au sein des forces armées. La mission qu'il lui confia était de se rendre sur Ohara, une île cachant en son sein un grand nombre d'archéologues, pour effectuer un Buster Call contre la population locale. la raison d'un tel ordre était le fait que ces archéologues avaient la fâcheuse manie de fourrer leur nez là où il ne fallait surtout pas creuser, à savoir à la recherche de ce qui s'était déroulé durant l'époque que l'on nommait communément le vide de cent ans. De plus, ces hommes et femmes étaient également coupable de cacher l'un des trésors du passé, un ponéglyphe. La mission fut un succès, si l'on excepte la trahison de Sauro, et la fuite de Nico Robin dont la tête devint rapidement mise à prix. En outre, pour parvenir au total succès de cette action, Sengoku confia un Den Den Mushi, soit un escargophone, à Spandine, l'un des hommes présents sur les lieux du massacre.

Par la suite, quelques temps après cela, Sengoku mit en place l'exécution du plus grand criminel de cette époque, le roi des pirates, Gold Roger. Malheureusement, alors qu'il pensait que cette mise à mort publique permettrait de trancher les germes de la piraterie à sa source, l'effet fut le contraire : une immense vague de piraterie vit le jour, augmentant d'autant plus le travail de cet homme qui avait obtenu entre-temps le rang d'Amiral-en-Chef, plus haute distinction de la Marine. Depuis ce jour, Sengoku fit tout pour que la justice absolue soit respectée, tandis que pour permettre cette volonté, il mettait en place un nouveau pouvoir : celui des Sept Capitaines Corsaires, ou Shishibukai.

Durant quelques années, les choses restèrent momentanément stables, jusqu'à ce qu'un petit équipage commence à faire parler de lui : les Mugiwara, dirigés par Monkey D Luffy, le petit fils du Vice-Amiral Garp. Cependant, il n'apprit l'information au sujet de ce lien de famille que bien plus tard. Mais à cette époque, un gros problème survint : Crocodile, l'un des Sept Capitaines Corsaires, fut battu par cet équipage et enfermé à Impel Down. Lorsqu'il fallut nommer son successeur, Sengoku se rendit à une réunion d'état-major où, à sa grande surprise, trois Shishibukai furent présents, dont Doflamingo, probablement celui que l'Amiral-en-Chef supportait le moins parmi ces sept pirates, à cause de ses manières et de ses petits trafics. Mais comme si cela ne suffisait pas, un autre élément perturbateur arriva durant cette réunion, en la personne de Laffite, un pirate qui proposa son capitaine, un certain barbe-Noire, comme Septième Shishibukai. Sengoku affirma qu'il ne connaissait pas cet homme, et qu'il n'était pas question qu'un inconnu accède à ce rang. Cependant, quelques temps plus tard, le dénommé Barbe Noire se présenta à Marijoa pour apporter un fabuleux trophée : Portgas D Ace, l'un des Commandants de Barbe Blanche en personne. Cet événement convint Sengoku d'attribuer le titre de Shishibukai à Marshall D Teach.

Quelques temps plus tard, un nouvel incident survint : encore une fois, l'équipage des Mugiwara refit parler de lui, en s'attaquant au gouvernement mondial à Enies Lobby. c'est à ce moment que Sengoku apprit le lien de parenté entre Luffy et Garp, et qu'il ordonna à ce dernier de ramener son petit-fils en prison. Mais la tentative échoua, et les Mugiwara furent de nouveau en route pour un autre endroit à travers les mers...

Cependant, il ne fallut que peu de temps avant d'entendre parler de nouveau de cet équipage. En effet, ils firent une nouvelle fois quelque chose qu'ils n'auraient jamais du : s'attaquer à une famille noble à qui personne ne devait toucher, sous aucun prétexte. Ce fut à ce moment là que Ki Saru se porta volontaire pour s'occuper d'eux, au grand soulagement de son supérieur. En revanche, pendant ce temps là, l'Amiral-en-Chef eut également fort à faire en réunissant les Shishibukai pour une opération urgente : barbe Blanche et ses hommes s'attaquaient à Impel Down pour libérer Ace. La suite n'est pas encore écrite...

Post rp:(40 lignes minimum il doit être en rapport avec votre personnage et révèle votre qualité en rp)

L'obscurité régnait dans la pièce, tandis qu'un bruit de respiration parvenait aux oreilles de Sengoku. Quelques palpations contre le mur furent nécessaires avant que l'interrupteur ne soit trouvé. Une fois la lumière allumée, l'Amiral-en-Chef de la Marine put visualiser la pièce dans laquelle il se trouvait. Il s'agissait d'une chambre spacieuse dans laquelle se trouvaient un bureau en marbre, une grande armoire à glace, ainsi qu'un large lit dans lequel reposait l'homme, ainsi qu'une chèvre blanche que le sommeil ne semblait guère vouloir quitter.

Le soldat se leva lentement, récupéra quelques vêtements, puis alla prendre une bonne douche avant de sortir de la salle de bain adjacente à sa chambre, son uniforme sur les épaules. Une étrange sensation contre sa cuisse l'invita à baisser les yeux pour y découvrir sa compagne animale qui semblait réclamer un peu d'attention, ce que le haut gradé lui offrit sans réfléchir, à grands renforts de caresses sur le sommet du crâne. La chèvre semblait apprécier, puisqu'elle se colla encore d'avantage contre son maître, tandis que ce dernier lui offrait un sourire sincère. Décidément, il appréciait vraiment cette brave bête.

Une fois ces quelques moments écoulés, Sengoku sortit de sa chambre et marcha dans les couloirs, rendant leur salut à toutes les personnes qui croisaient sa route et lui offraient leurs respects. La politesse était de mise en ce lieu, ce qui était évidemment une excellente chose en soi. Le respect est contraire à l'anarchie, après tout. Quelle meilleure chose pourrait se trouver dans un lieu où la devise est "Justice absolue"? Aucune, sans aucun doute. Voilà pourquoi Sengoku appréciait ce moment, lorsqu'il sortait de sa chambre et était accueilli avec respect par ses subordonnés.

Quoi qu'il en soit, après avoir traversé maints couloirs, le militaire parvint finalement dans son bureau, où se trouvait une pile de documents administratifs. Comme quoi le crime ne prend pas de repos. Le haut gradé de la Marine poussa un soupir avant de s'asseoir derrière son bureau, tandis que sa chèvre prenait place sur le meuble de bois. L'heure de la paperasse avait sonné, semblait-il. Il allait encore falloir passer des heures à signer des documents, et tout ça pour pas grand chose dans certains cas, étant donné que n'importe quelle action semblait demander une autorisation signée pour les moins gradés. Ou alors, c'était simplement que certains ne pouvaient faire le moindre pas sans demander l'autorisation, de peur de subir des représailles. Allez savoir pourquoi.

Soudain, alors qu'il allait débuter son travail avec toute la motivation que son rang lui permettait, Sengoku perçut un bruit en provenance de la porte de son bureau. Ordonnant à son vis-à-vis d'entrer, il vit la Vice-Amiral Tsuru, une vieille femme ayant également le rôle de chef-conseillère de la Marine, entrer et fermer la porte derrière elle avant de s'approcher du bureau. Après avoir salué l'Amiral-en-Chef, elle déposa sous les yeux de ce dernier une nouvelle pile de dossiers, puis quitta la pièce.

Finalement, le haut gradé put finalement se mettre au travail, remplissant et triant les divers papiers les uns après les autres. Mais cette monotonie n'avait pas que des bons côtés, malgré le fait que son poignet devenait assez douloureux petit à petit. En effet, le calme qui régnait dans la pièce permettait à Sengoku d'apprécier cette bonne ambiance, tandis que sa chèvre somnolait sur le bureau. C'était un moment privilégié, loin des bruits des couloirs, loin de la foule dans la cafétéria, loin des cris des champs de bataille. De part son âge mature, le soldat avait déjà pu expérimenter maintes fois chacune de ses expériences, et il n'en était pas sorti grand chose de bon. Voilà pourquoi le simple fait de rester assis derrière un bureau lui procurait un repos bienfaisant.

Mais toute bonne chose a une fin, comme on dit. De ce fait, un élément perturbateur devait à un moment ou à un autre intervenir. Ce fut le cas lorsqu'un nouveau coup fut frappé à la porte. Sans attendre, l'homme à la casquette surmontée d'une mouette invita son visiteur à se faire connaître en entrant. Lorsque la porte s'ouvrit, ce fut un simple soldat qui pénétra dans la pièce, le visage impassible. Sans préambule, il prit la parole d'une voix calme mais néanmoins sombre.

" Il y a du grabuge, Monsieur. Il paraît que Barbe Blanche a été aperçu dans le coin avec toute sa flotte. "

L'Amiral-en-Chef accusa le coup, mais prit néanmoins un instant de réflexion avant de prendre la parole d'un ton neutre.

" Faîtes savoir aux Shishibukai qu'ils ont ordre, tous sans exception, de venir immédiatement à Marijoa pour affronter ces pirates. Ce sera l'occasion pour eux de prouver qu'ils ont mérité leur titre. Quiconque ne viendra pas se verra immédiatement et irrémédiablement retirer son titre. "

Une fois le soldat sorti, Sengoku se leva et se dirigea vers la porte, tout en pensant qu'à son retour, il aurait encore un tas de paperasse à remplir. Mais soudain, une suite de bruits attira son attention dans son dos. Lorsqu'il se retourna, il vit sa chèvre en train de se faire un en-cas à base de dossiers en tous genres. L'Amiral-en-Chef soupira, puis offrit un grand sourire à son animal, comme pour l'inviter à continuer, tandis qu'une pensée lui traversa l'esprit, jusqu'à se muer en paroles.

" Décidément, j'adore cette chèvre... "